Culture du risque, innovations... Comment le principe de précaution asphyxie la France
DÉCRYPTAGE - Il a pesé sur l'évolution de la santé publique, la sécurité alimentaire, l'urbanisme, les transports et la consommation.
Un anniversaire clivant. « En France, le principe de précaution paralyse beaucoup de choses. Le gaz de schiste , par exemple, on n’a même pas essayé de voir s’il y avait moyen de faire quelque chose », s’agaçait il y a quelques mois, une figure de Bercy. « Beaucoup ont fait du principe de précaution un épouvantail, alors qu’en réalité son application reste limitée depuis vingt ans », rétorque Corinne Lepage, avocate et ancienne ministre de l’Environnement. Conçu pour redonner confiance aux citoyens en la capacité des politiques de les protéger des risques incertains, en particulier des atteintes environnementales, le principe de précaution a connu son heure de gloire au début des années 2000.
Depuis, son application concrète sur le terrain du droit est restée mesurée. En revanche, en vingt ans, le principe semble avoir profondément modifié l’appréhension du risque en Europe en remettant en cause le droit traditionnel de la responsabilité et en accompagnant la montée en puissance…
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dutch
le
Tout à fait juste (titre). Pas la peine de lire, je suis convaincu!
Félix86
le
Principe appliqué partout sauf en matière d’immigration !
Justiniany
le
La mise en oeuvre de ce processus déclenche une réaction en chaîne qui dans un premier temps peut entrainer des blessures graves, voire la mort de l'expérimentateur. Cette réaction en chaîne, si elle échappe au contrôle strict de l'opérateur, est en mesure de détruire rapidement 'environnement immédiat puis l'environnement lointain. Ses limites sont théoriquement inconnues car la réaction en chaîne modifie, par association moléculaire le composante principale de la vie. Pensez-vous qu'on doivent poursuivre les études sur ce domaine ? NON ! Dommage, on aurait pu découvrir le FEU.