Ces 10 cocktails moins caloriques à adopter cet été

Éléments incontournables pour accompagner les longues soirées d'été, les cocktails sont partie intégrante des moments entre amis. Véritables bombes caloriques, ces boissons ne nous aident pas dans l'objectif de préserver son fameux «summer body». Si les bouchées apéritives font depuis longtemps l’objet de toutes les attentions – à coups de chips aux légumes allégées et de tartinade 0% –, on oublie l'importance de l'accompagnement alcoolisé qui peut nous jouer des tours sur la balance. La teneur calorique de l'alcool se retrouve être un véritable enjeu si l'on abuse de sa consommation. Grâce aux conseils du diététicien Raphaël Gruman, on vous explique les risques autour de ces boissons, pour ensuite composer une proposition des cocktails qui pourront allier plaisir et gourmandise sans débordements caloriques.

L'aspect problématique des cocktails, c'est déjà... la teneur en alcool. Le choix du rhum, du whisky, de la tequila, de la vodka, soit des alcools forts, va apporter beaucoup de calories. «Plus un alcool est fort en degré, plus il va se transformer en sucres au niveau du sang», avance Raphaël Gruman. Selon le diététicien, c'est cette transformation qui donne l'effet ultra-calorique. Ouf ! Si l'on évite l'alcool fort, alors le reste n'est pas un souci, serait-on tenté de penser... Sauf que l'alcool n'est pas le seul danger glycémique sur notre chemin. La boisson soft que vous allez y intégrer jouera pour beaucoup également. Autrement dit, un soda ou un jus de fruit représente une dose supplémentaire de sucre qui vient quasiment doubler la note calorique de votre boisson alcoolisée. En effet, un verre de jus d'orange contient en moyenne entre 100 et 150 cal par verre. Voilà pourquoi combiner alcool et soft se révèle plus délicat qu'il n'y paraît… Alors même si le meilleur des conseils reste la modération, découvrez notre sélection avisée des cocktails à adopter pour tenter de garder la ligne.

• Bloody Mary : 123 kcal

C’est un alcool fort, certes, mais la vodka (230kcal/100ml) demeure une liqueur sèche avec peu de sucre. Le jus de tomate en diluant est un bon allié, puisqu’il est bien moins calorique qu’un jus de pomme ou d’orange.

• Spritz : 110/120 kcal

Cocktail indémodable depuis des années, sa composition le rend avantageux sur le plan calorique. Le prosecco (83 kcal/100ml), une faible dose d'Apérol, voire de Campari ou de Sélect pour les puristes, ainsi qu'un trait d'eau gazeuse, tout cela rend ce classique italien plutôt raisonnable sur le plan diététique.

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• L'Américano : 110 kcal environ

L'association vermouth et Campari n'a rien d'excessif d'un point de vue diététique, selon Raphaël Gruman. À l'image du spritz, l'atout de cet apéritif italien réside dans son soft, qui reste de l'eau gazeuse.

• Gin Tonic light : 100/110 kcal

Certes, dans le gin tonic, intervient un alcool fort. Ce qui n'arrange pas nos affaires en matière de calories… Mais le gin reste parmi les moins caloriques, comparé au whisky par exemple. Et si l'on prend un tonic sans sucres ajoutés, cela permettra de contraster avec la note calorique de l'alcool et minimisera l'écart sur la balance.

• Le Mimosa : 85 kcal / verre

Selon le diététicien Raphaël Gruman, tout l'avantage de ce cocktail, c'est l'alcool de base, le champagne. Très peu calorique, on y ajoute un peu de jus d'orange, et une microdose de Grand Marnier. Tel est la recette pour un cocktail diète !

• Martini Dry : 97 kcal

Malgré la dose de Gin (265 kcal/100ml), de martini dry est un peu moins calorique (133kcal/100ml) que ses confrères rosso et bianco. L'absence de tout soft permettra de limiter l'apport glucidique de ce cocktail.

• La piña colada :

Une base de rhum (231 kcal/100ml) avec du lait de coco et du jus d'ananas. Le lait de coco n'est pas très calorique et va ainsi diluer notre alcool. La piña colada reste envisageable avec une note calorique aux alentours des 150 calories par verre.