Ces vignerons confidentiels de la vallée de la Loire dont la cote va bientôt exploser
Déjà bien connus des plus fervents amateurs et sommeliers de renom, ils incarnent la nouvelle génération des futures stars du vignoble ligérien. Formés par les plus grands, ils produisent des vins au potentiel exceptionnel, encore disponibles à la vente… Mais pour combien de temps ?
Dans un vignoble dont l'aura ne cesse de croître, qui seront les prochains Charly et Nady Foucault (Clos Rougeard), Didier Dagueneau, Richard Leroy et Romain Guiberteau ? Une question délicate, tant la région regorge aujourd'hui de jeunes talents, séduits par la grande diversité de terroirs de la vallée de la Loire, au foncier encore accessible, capable de produire des vins d'une fraîcheur infinie, au potentiel de garde n'ayant rien à envier à ceux des plus nobles régions voisines. Après des années de relative indifférence, le vignoble ligérien occupe désormais une place de choix dans le cœur et les caves des plus grands sommeliers et amateurs éclairés.
«On ne peut que s'en réjouir, s'exclame Alexandre Bain, célèbre vigneron «nature» installé à Pouilly-Fumé. Nous avons toujours été les seconds couteaux, dans l'ombre de la Côte-d'Or, mais nous avons su rester de véritables terriens, et conserver des prix raisonnables sur de grands terroirs. À titre d'exemple, des appellations telles que le Muscadet , l'Anjou et les Côtes d'Auvergne font aujourd'hui l'objet d'un engouement sans précédent, grâce à des domaines phares ayant fait office de moteurs, qui laisseront bientôt la place à une nouvelle génération encore peu connue du grand public». Des vignerons dont les vins «cousus main» déchaînent d'ores et déjà les passions, que l'on retrouve désormais à la carte des plus grandes tables étoilées, et sur lesquels miser sans plus tarder.
HApa44
le
Les prix explosent, et bien ils garderont leurs vins. Il y a belle lurette que je n'achète plus de Bordeaux , mais des bons vins espagnols à des tarifs raisonnables.
anonyme
le
Publi reportage rémunéré ?
Oskar Lafontaine
le
Je ne vide même pas une seule bouteille de vin à l'année en additionnant tous les (et ils sont très rares) petits verres que la politesse m'oblige à boire.