Le mystérieux coup de fil Hollande-Macron, Hidalgo et les dents de la Seine... Les indiscrets du Figaro
CONFIDENTIELS - Chaque semaine, la rédaction emmène ses lecteurs dans les coulisses de la vie politique.
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CONFIDENTIELS - Chaque semaine, la rédaction emmène ses lecteurs dans les coulisses de la vie politique.
INFO LE FIGARO - Avant même le début de la législature, qui s’ouvrira le 18 juillet prochain, une âpre bataille est engagée en coulisses pour essayer de décrocher les fonctions les plus stratégiques du Palais Bourbon.
VIDÉO - Les députés de gauche ont fait leur entrée à l’Assemblée nationale ce mardi et parmi eux un certain François Hollande.
Candidat pour le Nouveau Front populaire, l’ancien président de la République est arrivé en tête de la triangulaire qui l’opposait, pour le second tour, au député LR sortant ainsi qu’à une prétendante du Rassemblement national.
Réélu député dimanche sept ans avoir quitté l’Élysée, l’ancien président socialiste marche dans les pas de son prédécesseur centriste, qui était revenu siéger au Palais Bourbon au mitan des années 1980 pour mieux repartir à la conquête de l’Élysée.
La fille de l’ancien président a jugé incompréhensible le «programme commun» entre François Hollande et La France insoumise, «un parti qui sur des sujets fondamentaux a commis l'irréparable».
«Jamais aucun électeur insoumis, j'en suis certain, ne donnera sa voix au Rassemblement national», a espéré le leader insoumis mercredi soir sur LCI.
Invité mercredi soir de BFMTV, l’ancien président de la République et candidat en Corrèze a plaidé pour la nomination d’une personnalité «de consensus».
L’ancien président de la République avait exhorté ce week-end le leader insoumis à «se taire» pour atténuer le «rejet» qu'il susciterait chez les électeurs, et ainsi «rendre service» au Nouveau Front populaire.
REPORTAGE - Candidat surprise pour tenter d’endiguer la percée annoncée du RN, l’ex-président espère surfer sur sa popularité dans son ancien fief pour retrouver l’Assemblée.
L'ancien président socialiste, candidat en Corrèze, s’est longuement exprimé sur Emmanuel Macron, sa campagne, le Nouveau Front populaire et la place de Jean-Luc Mélenchon dans l’alliance.
ANALYSE - Si le «dégagisme» bon teint du «nouveau monde» prétendait renvoyer au passé les éléphants d’hier, la campagne présidentielle qui se dessine pour 2027 prend des faux airs d’une vieille affiche déjà vue.
Alors que l’ancien chef de l’État se présente en Corrèze sous la bannière du Front populaire, Gabriel Attal a apporté son soutien à son concurrent, le député sortant LR Francis Dubois.
Le parti présidentiel annonce cependant qu’il ne donnera pas de consigne de vote entre l’ancien président et le député LR sortant, Francis Dubois.
RÉCIT - Depuis l’annonce de la dissolution, l’ancien président socialiste a secrètement préparé sa candidature en Corrèze pour les élections législatives. Au nez et à la barbe d’Olivier Faure et de Jean-Luc Mélenchon.
L’ancien président sera candidat pour le Parti socialiste, soutenu par le «Nouveau Front Populaire».
DÉCRYPTAGE - Face à la menace RN, les principales figures de la social-démocratie sont revenues sur leur promesse de ne jamais faire alliance avec La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon.
Invité du 20h de TF1, l’ancien président de la République a fustigé la décision d’Emmanuel Macron qui «intervient au pire moment et dans les pires circonstances».
VIDÉO - La comédienne était l’invitée d’Aurélie Casse dans « C l’hebdo » ce samedi 8 juin dans le cadre de la présentation du Festival des sœurs jumelles à Rochefort.
Gabriel Attal, après avoir été questionné sur son intervention surprise dans l’auditorium de Radio France, a accusé les socialistes d’avoir honte du soutien de l’ancien président. En effet, les socialistes n'apprécient guère le retour sur la scène politique de François Hollande.
Le scooter sur lequel l’ancien président de la République avait été photographié par Closer en train de rejoindre son amante Julie Gayet depuis l’Élysée a trouvé un nouvel acquéreur ce dimanche.
Invitée de CNews et Europe 1 mercredi soir, la tête de liste insoumise considère que son concurrent socialiste est le symbole «d’une gauche qu’on a essayée, qui a décu et trahi.»
La programmation des projections en plein air comprend l’adaptation en film de la bande dessinée et série animée Silex and the City. L’ancien chef de l’Etat compte parmi ceux qui ont prêté leur voix aux personnages.
DÉCRYPTAGE - Après avoir creusé l’écart avec les autres listes de gauche dans les sondages, le représentant des socialistes peut légitimement espérer rattraper la macroniste Valérie Hayer. De quoi le placer, à moins de deux mois du scrutin, sous le feu des attaques.
Invité ce dimanche sur France 3, l’ancien président croit en un bon score de Raphaël Glucksmann au scrutin du 9 juin pour «produire une autre alternative» d’ici 2027.
Invité sur le plateau de C à Vous, l’ancien président de la République s’est exprimé sur le comédien. Et l’impunité dont celui-ci aurait profité sur les tournages.
Invité jeudi soir de France 5, l’ancien président de la République est revenu sur les propos de son prédécesseur, qui pressent un potentiel présidentiel chez le jeune chef du gouvernement.
L’ancien chef de l’État mise sur le succès de la liste socialiste aux européennes du 9 juin pour espérer peser sur une éventuelle «recomposition politique au lendemain» du scrutin.
L'Élysée s’était séparé du scooter en décembre 2015 lors d'enchères du Domaine, deux ans après l'affaire dite du «Gayetgate».
Olivier Schrameck a affirmé jeudi que François Hollande lui a refusé des candidats pour la présidence de France Télévisions pendant son quinquennat.
Évoquant une transaction qui n’a en réalité jamais eu lieu, le député lepéniste avait cru bon d’accuser Emmanuel Macron d’avoir fourni à Moscou du matériel «probablement utilisé» aujourd’hui «pour faire la guerre en Ukraine».
Fin février, le président de la République déclarait que l'envoi de troupes occidentales au sol pour soutenir l'Ukraine était «évoqué parmi les options» pour aider Kiev à se sortir de la guerre qui l'oppose à la Russie.
FIGAROVOX/ENTRETIEN - L'ancien président de la République socialiste multiplie les déplacements sur le terrain, d’après un article paru dans Le Figaro. Au point d’envisager un retour en politique ? David Desgouilles juge cette hypothèse improbable, car il n’y a plus d’espace politique entre Mélenchon et Macron.
CONTRE-POINT - Peu visible aujourd’hui, le réveil de la social-démocratie dépend de quatre conditions.
RÉCIT - L’ancien président de la République socialiste, qui multiplie les déplacements sur le terrain, est devenu la troisième personnalité politique préférée des Français et – de loin – la première à gauche.
CHRONIQUE - Petites phrases et coulisses de la semaine politique, par Carl Meeus.
L'ÉDITORIAL DU FIGARO - Celui qui reprochait à François Hollande de présider en zigzags ressemble chaque jour davantage à son prédécesseur.
Invité de «Quotidien» jeudi soir, l’ancien président de la République a fait un parallèle entre les «formules, les règles, et les processus» maniés par le premier ministre et ceux utilisés par celui qu’il avait battu lors de la présidentielle de 2012.
ENQUÊTE - Ratures, luttes d’influences et petites vexations... L’écriture d’un discours d’hommage national est une œuvre collective dont les plumes de l’Élysée sont les acteurs et les témoins discrets.
DÉCRYPTAGE - Face au terrorisme, ces procédures sont de plus en plus actionnées par l’État, même si les chiffres sont encore modestes. Les autorités en ont prononcé onze en 2023 contre un total de treize en 15 ans. Une mesure préalable à l’expulsion.
Si le nouveau premier ministre «a du talent», l’ancien président de la République raille, dans une interview à L’Express, son manque d’«expérience». Un critère antonymique, selon lui, de «l'accumulation des postes successifs».
INFO LE FIGARO - L’essai aura pour thème l’exercice du pouvoir par la gauche depuis un siècle.
Invité de France Inter ce matin, l’ancien Président de la République a réagi aux propos tenus par l’actuel chef de l’État au sujet de l’acteur.
Dans une interview au Monde, l’ancien président de la République estime que l’adoption du texte inspiré par LR constitue une «humiliation» pour son successeur à l’Élysée.
Dans un entretien accordé à Ouest-France ce samedi, l’ancien président de la République annonce qu’il ne sera pas candidat en juin 2024.
Plusieurs personnalités sont attendues en marge du rendez-vous des édiles, consacré au malaise des élus.
NOUS Y ÉTIONS – Présidée par Florence Aubenas, la 41e édition de la manifestation referme ses portes. Comme chaque année, on y a croisé le Tout-Paris littéraire, des figures politiques, des stars auteurs et des auteurs stars. Tous réunis pour s'offrir une respiration dans cet automne maussade.