Janu, premier d'une dynastie qui a des ambitions similaires à son
grand frère et parrain Aman, se veut un hôtel « connecté », relié à son environnement par une offre généreuse de restaurants et de lieux de relaxation au-dessus desquels trônent 122 chambres. Le personnel est aux petits oignons, plié (en quatre) comme un origami pour vous servir ; surtout, ils ont l'air contents – un luxe au Japon. On est frappé par la fluidité de la circulation des ambiances d'un lieu à l'autre, comprimées dans un décor sobre, « précipité » d'une longue recherche. Au milieu de la ville la plus peuplée du monde, il pourrait devenir une « dynamo » de son nouveau quartier où les gratte-ciel poussent comme des champignons. (Gros) bémol dans la symphonie : un positionnement de prix des chambres hors marché.