L'élu de la Vienne critique la proposition de loi constitutionnelle que les LR s'apprêtent à déposer et qui permettrait, entre autres, de déroger aux traités européens.
Dans le Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le président de Reconquête a critiqué le projet dévoilé par LR et précisé ses ambitions pour les élections européennes.
Les Républicains ont dévoilé, samedi 20 mai, une stratégie à deux étages et des propositions inédites censées mettre fin aux «pompes aspirantes» de l'immigration en France.
Le double candidat à la présidentielle, qui a renoncé à se présenter aux législatives de 2022 pour des «raisons de santé», affirme qu'il serait «très heureux» d'être élu au Parlement européen.
EXCLUSIF - Notre classement, réalisé avec Politiquemédia, révèle l’intense guerre médiatique menée ces trois derniers mois entre le camp Macron et les oppositions.
«Si, demain, la France n’était plus représentée au sein de la droite européenne, ce serait un problème majeur», estime le député européen, prêt à reprendre le flambeau de la tête de liste des Républicains pour le prochain scrutin de 2024, comme il l’avait fait en 2019.
ENTRETIEN EXCLUSIF - Condamné mercredi par la Cour d’appel dans l’affaire dite des «écoutes», l’ancien président a décidé de se pourvoir en Cassation. Il sort du silence dans un entretien accordé à notre journal.
La veille, la première ministre Élisabeth Borne a jugé «inconstitutionnelle» la proposition de loi portée par le groupe parlementaire indépendant Liot visant à abroger la réforme des retraites.
Cette annonce survient alors que le maire de Saint-Brevin-les-Pins a démissionné de son poste, après avoir été visé par un incendie, tout en jugeant que l'État ne s'était «pas tenu à (ses) côtés».
Selon BFMTV, le député aurait encaissé plusieurs dizaines de milliers d’euros en espèces alors qu’il a déclaré à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique ne toucher aucune rémunération des sociétés qu’il a montées.
Outre l'affaire des écoutes pour laquelle il a été condamné, Nicolas Sarkozy est cité dans plusieurs dossiers, dont l'affaire Bygmalion et le dossier sur le financement libyen de sa campagne présidentielle.
REPORTAGE - Sur les terres de ses racines familiales et de ses premières conquêtes électorales, l’ancien président de la République, disparu en 2019, a laissé une trace indélébile. Au-delà des grands projets d’infrastructures qu’il a portés pour désenclaver ce département isolé, sa vision politique continue de nourrir l’économie locale et le tissu social.
Interviewé au 20h de TF1 lundi, le chef de l'État est revenu sur les traits de personnalité qui lui sont reprochés par ses concitoyens. Lesquels sont pleinement associés à sa méthode politique.
Le prêt de 9,4 millions d'euros conclu en 2014 avec une banque tchéco-russe avait fait dire à Emmanuel Macron que la candidate d'extrême droite parle «à (son) banquier quand elle parle de la Russie».
Blâmés à gauche, les propos présidentiels ont été vus par les LR comme l’annonce du moratoire sur les contraintes environnementales, souhaité à droite.
ENQUÊTE - Éléonore Caroit (Renaissance), Meyer Habib (apparenté LR) et Karim Ben Cheikh (Écologistes-Nupes), les trois sortants, ont été réélus à la faveur des législatives partiels d’avril. Mais, sous la stabilité électorale, des particularités géographiques sont repérables.
L'exécutif et les responsables macronistes souhaitent que l'article 40 de la Constitution s'applique, afin que la proposition de loi du groupe Liot soit jugée «irrecevable». Mais les oppositions les accusent de vouloir «empêcher le débat».
Invité du 20h de TF1 lundi soir, le président de la République a surtout parlé de l'Ukraine et du contexte économique de la France. Et c'est sur ce deuxième point que les attaques se concentrent.
Le président de la République s'est notamment adressé à la France du travail, en souhaitant accorder aux classes moyennes une baisse fiscale de 2 milliards d'euros d'ici 2027.
DÉCRYPTAGE - Le recours à l’article 40, permettant de déclarer la proposition de loi du groupe Liot irrecevable financièrement, est étudié par le gouvernement, contre l’avis de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet.
CONTRE-POINT - Emmanuel Macron, qui avait inauguré son mandat en 2017 en pestant contre les présidences «bavardes», ne croit plus au concept de la rareté théorisée sous Mitterrand.
Un changement du règlement interne pourrait intervenir d'ici fin mai, faisant passer à 10 le nombre minimal d'élus pour constituer un groupe. De quoi condamner les groupes communistes et Insoumis.
INFO LE FIGARO - L'ancien président salue en privé le «mérite» et le «courage» de son ex-premier ministre, qui tente de restructurer un espace social-démocrate entre les macronistes et la Nupes.
CONTRE-POINT - Sur le fond, Emmanuel Macron a peu de choses à reprocher à une Élisabeth Borne, qui a pleinement rempli sa feuille de route durant un an. Mais il reste la forme.
SONDAGE - Une étude Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro révèle que 69% du pays ne se satisfait pas du bilan de la première ministre, après un an à la tête du gouvernement.
Le patron des députés LR a par ailleurs écarté l'idée d'une primaire pour désigner le prochain candidat de la droite, y voyant «un piège qui amène à se diviser».
Yannick Morez a démissionné le 10 mai dernier après avoir été visé par un incendie criminel. Dans un communiqué, il réfute des propos du préfet local et de la ministre des Collectivités
La première ministre a annoncé au JDD qu'elle rencontrerait mercredi le maire de Saint-Brevin-les-Pins, Yannick Morez (DVD), qui a démissionné après avoir été visé par un incendie criminel.
La liste des personnalités de droite qui devront porter le fer face aux ministres du gouvernement a été ajustée jusqu'à la dernière minute. Elle est publiée par le JDD ce week-end. Une trentaine de noms et de missions réparties en cinq cellules thématiques, dont Le Figaro présente la composition.
Si les partis de gauche parvenaient à s'entendre, la NUPES arriverait en tête au coude à coude avec le RN aux prochaines élections européennes, selon un sondage IFOP Fiducial publié par le JDD et Sud Radio.
«Ce texte n'en finit plus d'être programmé, déprogrammé puis reprogrammé!» s'est agacé Bruno Retailleau pour qui «l'immigration est l'angle mort du macronisme».
Que cela concerne le nucléaire ou l'immigration illégale, les députés européens macronistes sont en contradiction avec les affirmations du gouvernement, souligne le député européen.
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