Lyon : les déplacements d’un dealer mettent les policiers sur la piste d’un pactole
Les policiers ont découvert mardi près de 38.000 euros et toutes sortes de drogues dans un appartement du quartier du Terraillon, à Bron.
Le Figaro Lyon
Un appartement aux airs de caverne d'Ali Baba. Après avoir arrêté un homme de 23 ans, identifié lors de repérages dans le quartier du Terraillon, à Bron, mardi 2 juillet, les policiers ont découvert de nombreuses drogues stockées dans un logement du quartier, ainsi qu'une importante somme d'argent. Près de 38.000 euros en liquide ont été saisis, indique la direction de la police nationale du Rhône. Côté stupéfiants, les agents ont pu mettre la main sur 250 cachets d'ecstasy, 76 grammes de cocaïne et 47 grammes d'héroïne. De petites quantités de MDMA, kétamine et cannabis ont également été retrouvées, ainsi que 218 paquets de cigarettes.
C'est lors d'une patrouille sur ce secteur de l'avenue Brossolette que les policiers avaient remarqué le drôle de manège du suspect qui multipliait les allées et venues entre un appartement et les parties communes de l'immeuble. Hall d'immeuble connu des forces de l'ordre qui y découvrent régulièrement des stupéfiants. Contrôlé mardi en fin d'après-midi, le suspect se trouvait alors en possession d'une petite quantité de cannabis et 115 euros en liquide. Interpellé, il a alors été conduit vers le commissariat et a tenté, sur le trajet, de se débarrasser d'une petite quantité de cocaïne.
C'est la perquisition de l'appartement identifié qui a permis aux enquêteurs de mettre la main sur le pactole. Défavorablement connu des services de polices, l'homme a reconnu les faits et doit être jugé en comparution immédiate à délai différé.
Lymaj
le
Il devait être éligible à l’APL et peut être même au RSA…. Merci aux policiers
emile
le
Pas une voix pour LFI complice du traffic.
東京タワー
le
Pourquoi donnez-vous le nom de la caverne Alibaba en l’occurrence mais pas le nom du voleur? De quelles précautions bénéficie-t-il au point que l’on ne puisse pas le nommer car quand il est adolescent vous vous réserver le droit de pas donner son nom et quand il est adulte vous vous réserver le droit de pas donner son nom bref on ne connaît que le nom de la caverne? Imaginez que vous ne donniez plus le nom de la victime non plus ni des lieux Que vous resterait-il à dire alors?