Législatives : après la bonne performance de ses troupes, Éric Ciotti veut transformer l’essai dimanche prochain
DÉCRYPTAGE - Localement, le candidat récolte les fruits de son «alliance avec le Rassemblement national», mais son avance n’est pas à l’abri d’une opposition concertée.
Le Figaro Nice
Le pari réussi d’Éric Ciotti est une donnée indéniable de ce premier tour des élections législatives. Dès dimanche soir, le président contesté des Républicains - arrivé en tête dans son fief des Alpes-Maritimes - restait très vigilant face aux rumeurs de désistements envisagées par la gauche et les macronistes pour tenter de le faire battre. Mais, en attendant d’en savoir plus sur l’impact d’accords rivaux éventuels, le député sortant peut déjà se réjouir des performances enregistrées par son « alliance avec le Rassemblement national ». Les chiffres sont éloquents : l’élu de Nice est parvenu à engranger plus de 1 million de voix en investissant une petite soixantaine de candidats seulement, quand Les Républicains historiques ont récolté à peine 2,1 millions de suffrages avec pourtant 400 candidats investis.
Au-delà des conséquences financières positives pour son microparti, « Les amis d’Éric Ciotti », cette percée de ses troupes révèle l’adhésion d’une partie…
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Anonyme
le
Mr. Ciotti a le courage de ses opinions, Bravo !
ca18
le
La pente est rude, mais la route est droite …
On a bon à Liège
le
J’ai abandonné Chirac et son parti machin , soit disant gaulliste, en 1997 , après l’échec de la dissolution inutile de l’assemblée nationale. Il a fait cadeau de 5 ans de socialisme à la France . Ses derniers barons auront résisté jusqu’à aujourd’hui, après avoir méprisé le référendum de 2005 avec le traité de Lisbonne. Les élections européennes récentes nous ont rappelés ces deux trahisons à la base des élus LR canal historiques en PACA .Ils s’accrochent encore, la soupe est bonne . Sans parler de Muselier à Marseille, élu grâce à la gauche et au écologistes en PACA, et ceux qui ont tourné leur veste comme Falco à Toulon et Estrosi , pour Macron. Leur fidélité est bien récompensée par cette dissolution délirante, et en même temps, salvatrice pour la France. Cela fait beaucoup à digérer quand on a adhéré au RPR en 1981.